TOXIC par E.L.E.A


Scène de vie suit régulièrement l'actualité musicale d'Elitsa et Edwin Denninger, et cette fois-ci, c'est leur très belle reprise de TOXIC avec leurs amis Agathe et Laurent que l'on veut vous faire découvrir:

https://www.youtube.com/watch?v=YNKqzFE5-Vg

Photos dans un fauteuil

Le photographe Eric Boudet nous propose de découvrir la diversité de sa création photographique en feuilletant ce très beau portfolio:

                       http://issuu.com/ericboudet/docs/20140223portfolio1

Comment passer une très bonne soirée

C'est simple: vous prenez l'un des restaurants les plus appréciés sur Aix pour son originalité et sa cuisine, Le drôle d'endroit, à cela vous ajoutez des artistes talentueux qui vous offrent un concert et vous obtenez la soirée du jeudi 6 février.
 
Pour en savoir un peu plus sur le concert:

 Edwin Denninger est un guitariste-chanteur et compositeur français. Il écrit ses textes en anglais. Edwin fait partie de ces jeunes guitaristes de blues moderne qui sont en avance sur leur temps.
À la recherche de son propre style, il mixe le blues avec le rock, le funk, la soul. Depuis 2007 il s'est forgé une très bonne réputation à travers les clubs et festivals en Allemagne et le Benelux.
Il sera accompagné de sa femme Elitsa Denninger, soliste du fameux Très Grand Groupe de Gospel d'Aix-en-Provence, qui vous surprendra par l'originalité de son timbre de voix et de ses interprétations, inspirées des musiques noires américaines.
 
Réservation  conseillée!
 
Le drôle d'endroit,  14 Rue Annonerie Vieille, 13100 Aix-en-Provence
04 42 38 95 54
 

Pour une expo photo

Scène de vie soutient le projet d'Eric Boudet, photographe.
On lui laisse le soin de vous le présenter:

http://www.babeldoor.com/quand-la-lumiere-danse
 
«Quand la lumière danse» est une exposition de photographies fondée sur l’image en mouvement. Ces images, à mi-chemin entre la peinture et la photographie sont obtenues grâce au mouvement de l’appareil photo pendant le temps de pose.

L’un des aspects de cette recherche porte sur les différents types de flous que l’on peut obtenir au moyen d’une série de mouvements spécifiques à une vitesse donnée. La lumière joue un rôle important dans cette recherche. S’il est possible de voir les sources de lumière ainsi que les effets de la réflexion lumineuse sur la matière, le rayonnement lumineux reste quant à lui invisible. Le rendre visible sans le support de la matière est possible grâce à cette technique de prise de vues en mouvement. Photographier, c’est écrire la lumière.

Dates

L’exposition devrait être présentée au public entre mars et avril 2014 en région PACA puis au festival de danse contemporaine de Ramallah entre avril et mai (en cours de négociation).

Originalité et objectif de la collecte

«Quand la lumière danse» fait appel au mécénat participatif. Les apports de chacun permettront de financer les tirages, les cadres et la communication sur l’exposition.

Pour ce faire, j’ai mis en ligne sur le site  http://www.babeldoor.com/quand-la-lumiere-danse

L’investissement est important : 3200 euros à collecter en moins de 70 jours. La réussite de cette collecte déterminera l’existence et la qualité de l’exposition. La collecte repose sur le principe du tout ou rien : objectif atteint, je récupère la somme, dans le cas contraire, les donateurs ne sont pas débités et l’opération est annulée.

Comment pouvez-vous m’aider ?

1) En diffusant l’information et le lien sur vos réseaux sociaux
2) En soutenant le projet sans apport financier
3) En soutenant avec apport financier (de 5 à 2500 euros) ; vous recevrez en contrepartie une photo de qualité.

Dans les deux derniers cas, vous devrez vous inscrire sur le site. Cela se fait en deux clics de souris. Vous ne serez pas sollicité par mail. En revanche, cela vous permettra, à votre tour de faire appel au mécénat participatif pour vos projets, quels qu’en soit la nature.

LE SUCCES DE CE PROJET DEPEND DE VOTRE SOUTIEN. JE COMPTE SUR VOUS !
Merci.

Eric Boudet

QUAND LA LUMIERE DANSE

 

Ces concerts qui rendent heureux . . .

Vous avez déjà tous assisté à un concert dont vous ressortez avec une énergie incroyable, une euphorie qui perdure même une fois rentré chez vous: les concerts du Très Grand Groupe de Gospel sont de cela.
Le public aixois connaît bien ce (très grand) groupe de 45 chanteurs et se presse à chacune de ses représentations. La prochaine a lieu le vendredi 20 décembre - 20h30 -  à l'église Saint Paul (27 avenue de l'Europe, 13090 Aix-en-Provence). 
Pour ceux qui ne connaissent pas encore le TGGG, découvrez-le en cliquant sur ce lien: 
                       https://www.youtube.com/watch?v=Q2EMSNBoNPY&hd=1

Réservations au  04 42 20 52 29  ou sur  www.fnac.com

Concert au Black Unicorn

Amis marseillais (et autres...)
Voici un concert qui va nous rappeler des souvenirs puisqu'il a lieu au Black Unicorn:
le groupe Eager to play nous propose un concert intimiste fait de blues , de rock, de pop et de jazz le mercredi 30 octobre à partir de 20H30. Ce concert nous est recommandé par Elitsa -mon professeur de chant, interprète de blues et de jazz - ça veut dire qu'il vaut le détour!

Toutes les infos sur la page Facebook du groupe:
https://www.facebook.com/eagertoplay?fref=ts

Pub The Black Unicorn, Boulevard Chave, Marseille

Encore un cadeau du Pavillon noir...

A la suite de sa résidence au Pavillon noir, Ibrahima Koné, danseur et chorégraphe, nous présente sa dernière création Balance le vendredi 25 octobre à 19h. L'entrée est libre, il suffit de venir retirer ses billets 30 minutes avant le début du spectacle qui dure une demie heure. Une rencontre avec l'artiste est prévue à l'issue de la représentation.
Pour plus d'infos, cliquez ici:
http://www.preljocaj.org/menu.php?lang=fr&m=2&a=2&m2=243

N'étant pas sur Aix ce jour-là, je ne pourrais pas y assister ni écrire un article à ce sujet, alors si vous avez la chance d'y aller, n'hésitez pas à envoyer votre avis, vos commentaires sur le blog!

C'est l'histoire d'une incrust'


Aux beaux jours, les quais de Seine deviennent des théâtres surprenants où naissent toutes sortes
de spectacles improvisés; concerts amateurs et bals se succèdent. C'est en revenant d'un bal salsa que Mo et moi sommes attirés par les lumières d'un bal musette qui est en fait le tournage d'un clip pour les Stentors. Ils reprennent Mon amant de Saint Jean...une valse que j'adore.
Quand le réalisateur accueille de nouvelles figurantes sur le tournage, je me dis qu'il pourrait bien en avoir besoin d'autres encore... Mais le voilà parti. Je vais voir le caméraman pour savoir s'ils n'auraient pas besoin de figurants supplémentaires mais il m'assure qu'ils sont au complet. Je pars, râlant intérieurement, me disant que je ne me suis pas adressée à la bonne personne. Mo finit de me convaincre d'y retourner. Habitant à côté, j'enfile vite une robe années 40 - toujours avoir une robe années 40 dans ses valises- me coiffe à la va-vite d'un chignon et file sur le lieu du tournage. Il est déjà 22h. Là, je me présente à la personne qui s'occupe de la sécurité. Elle veut bien chercher pour moi le responsable du casting mais, ne le trouvant pas, elle me conseille d'aller voir les annonces du pôle emploi...Je vais pour partir quand elle l'aperçoit enfin. Je lui dis mon envie de faire partie du tournage et que je sais danser la valse. "D'accord, assieds-toi là." Je me retrouve attablée avec les autres figurants qui sont là depuis 17h, je signe quelques papiers entre deux prises et j'ai la chance de me faire inviter pour une valse, ce qui me permet de faire partie du groupe des danseurs jusqu'à la fin du tournage.
La suite est dans le clip:

Keyframes: habits de lumière pour le Pavillon noir

Le Pavillon noir défie les nuits aixoises par ses sculptures de lumière qui dansent sur ses murs au son de Mozart  et courent jusqu'au nouveau conservatoire.
Dans le cadre de e-topie , une programmation d'événements qui mêlent création artistique et recherche technologique, le groupe LAPS  donne vie à ces silhouettes dont la gestuelle s'inspire des chorégraphies d'Angelin Preljocaj, sur une musique certes classique mais remaniée par les machines du compositeur Erwan Quintin.
Au détour d'une balade, j'ai pu admirer ce ballet d'un autre genre qui poétise la tombée de la nuit et nous fait moins regretter qu'elle arrive tous les jours un peu plus tôt...

Le Pavillon noir. A voir jusqu'au 10 novembre - De 18h à 22h
Pour plus d'informations: www.preljocaj.org   /   aixpaysdaix2013.com

Les conseils d'Elitsa

Elitsa - mon professeur de chant, interprète de blues, de jazz et de gospel- vous recommande le concert des Pikinz qui aura lieu lors d'une soirée cabaret à L'Entrepôt à Venelles le samedi 19 octobre. Toutes les infos ici:


Elle nous fait part également de son expérience pour travailler encore plus efficacement l'articulation, importante en chant comme au théâtre. Retrouvez ses conseils à la page Exercices, dans la partie consacrée à la voix.

D'une expo à l'autre

Je vous l'ai annoncé dans un article précédent [Une expo qui vaut le détour], le photographe Eric Boudet vous invite à fêter dignement la fin de son expo au Cercle de l'indépendance à Puyricard le jeudi 31 octobre à partir de 18h30.
Les infos en +  Vous pourrez goûter aux préparations de Serena, qui nous ravit à chaque fois de ses recettes italiennes: un apéritif vous sera offert.
Tout en vous jetant sur les toasts avec l'élégance et la discrétion appropriées, vous assisterez à la présentation de la prochaine exposition d'Eric qui se tiendra sur Marseille prochainement. Pour nous en donner un avant-goût, il nous fait découvrir dès à présent certaines photos emblématiques de ses recherches actuelles:



 
...Et il nous en parle:
 
PHOTOGRAPHIER C'EST "ECRIRE LA LUMIERE"
Lorsqu'on réalise une photographie de façon traditionnelle, on ne fait que capturer de façon statique ce qui baigne dans la lumière. La lumière elle, est invisible à l'oeil nu. Ce n'est que sa réflexion sur notre environnement que l'oeil et le capteur perçoivent et figent y compris lorsqu'on croit la voir sous forme de rayons transperçant les nuages ou les branchages d'un arbre : il ne s'agit de que de la réflexion de la lumière sur les particules de poussière ou d'eau, mais elle-même reste invisible.
En photographiant de façon différente en combinant mouvement de l'appareil photo, vitesse d'obturation et du geste, lumière et couleurs, il est possible de rendre visible la lumière en l'opacifiant plus ou moins. En observant le flou de façon détaillée, on se rend compte de la richesse des propriétés optiques de la lumière. Cette vision photographique permet de relier le sujet à son environnement et à ce qui fait que les deux sont visibles et dissociables. Formes, lumière et couleurs se mélangent, se fondent pour ne faire plus qu'un seul sujet. C'est pour le photographe une première remise en question de la dualité.
Photographier de la sorte revient à peindre ou dessiner la lumière et non uniquement à "écrire" les objets qui se détachent d'une page invisible. Pour comprendre la lumière, il faut maîtriser le net et étudier le flou. Il n'y a qu'une sorte de netteté photographique et cinq sortes de flous au moins. Une invitation à la peinture plutôt qu'à la capture.

C'est tout cela que le photographe aura plaisir pendant un moment raisonnable (verre dans une main et toast dans l'autre) à vous raconter, photos à l'appui.
 
Cercle de l'indépendance, 7, rue Principale, Puyricard (près de la place de l'église)